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The Bridge Tank et l’Agence Française de Développement organisent un deuxième atelier sur l’économie bleue: solutions et mise en oeuvre

Le 21 janvier 2022, s’est tenu en visioconférence le deuxième atelier d’une série de trois, organisé par The Bridge Tank avec le mandat de l’Agence Française de Développement (AFD) sur l’économie bleue dans le Golfe du Bengale (Bangladesh, Inde, Sri Lanka). Alors que le premier atelier avait pour but de définir les nouvelles priorités de l’économie bleue pour les différents acteurs du Golfe du Bengale, ce deuxième atelier visait à faire dialoguer les experts, décideurs politiques et acteurs économiques afin d’identifier les défis qui empêchent une mise en œuvre concrète et efficace des chaînes de valeur de l’économie bleue dans la région. Croisant la recherche et l’opérationnel, cet atelier a permis de mettre en lumière les systèmes de collecte et de traitement des données, des ressources logistiques et financières et des lacunes pour la mise en œuvre et l’accélération des activités bleues dans la région.

Cet atelier était composé de deux panels. Le premier panel, ouvert au public, était consacré à l’exploration de l’importance de la collecte de données pour l’amélioration du suivi des actifs de l’économie bleue. Le deuxième panel, une table ronde à huis clos, était axé sur l’engagement d’une discussion entre experts locaux et français dans l’identification des points d’amélioration dans la mise en oeuvre d’une économie bleue durable et cohérente à l’échelle régionale.

Parmi les défis identifiés, les intervenants se sont tous entendus pour retenir les 5 points suivants: 

  • le manque d’information et de coordination au sein des pays et dans la région;
  • la nécessité de renforcer les capacités institutionnelles;
  • l’amélioration de l’évaluation des ressources halieutiques;
  • la nécessité d’accroître la coopération entre acteurs publics et privés;
  • la nécessité de réaliser davantage d’études et de projets de recherche conjoints au niveau régional;

Des solutions concrètes seront débattues et envisagées lors du troisième et dernier atelier sur l’économie bleue.

Panel 1 : Collecte de données pour un meilleur suivi des actifs de l’économie bleue

Intervenants :

  • Dr. Shailesh Nayak, Directeur, National Institute of Advanced Studies (NIAS), Inde
  • Mme Akshita Sharma, responsable du portefeuille de la biodiversité, AFD Delhi
  • M. Nishan Perera, cofondateur, Blue Resources Trust, Sri Lanka
  • M. Abu Saleh Khan, directeur exécutif, Institute of Water Modelling, Bangladesh

Participants aux discussions :

  • Dr. (Mme) Hélène Djoufelkit, Directrice de la recherche de l’AFD
  • Dr. Arnab Das, Directeur, Maritime Research Center, Inde
  • Dr. Adbul Wahab, Chef d’équipe EcoFish, World Fish Bangladesh Wing
  • Dr. (Mme) Chime Youdon, boursier associé, National Maritime Foundation, Inde
  • Dr. Saurabh Thakur, Associate Fellows, National Maritime Foundation, Inde

Panel 2 : Cadre national pour une meilleure coordination entre les entités publiques et privées, les chercheurs et les porteurs de projets.

  • Courte présentation des points forts soulevés par les experts lors du premier atelier, par Joël Ruet, Président de The Bridge Tank & Jacky Amprou, Directeur Régional pour l’Asie du Sud, AFD
  • Table ronde – 5 minutes de présentation de projets, d’initiatives ou de solutions par chaque intervenant.
  • Discussion ouverte entre les panélistes

Intervenants et invités :

  • M. Shri Aditya Dash, Vice-président, Marine Products Export Development Authority (MPEDA) – Inde
  • Mme Dharshani Lahandapura, président, The Marine Environment Protection Authority (MEPA) – Sri Lanka
  • M. Khairul Majid Mahmud, directeur, Chambre de commerce et d’industrie de Dhaka – Bangladesh
  • Mme Panchali Ellepola, responsable de projet, AFD Sri Lanka
  • M. Ameya Prabhu, vice-président, Chambre de commerce indienne – Inde
  • Mme Soma Mitra-Muckerjee, directeur – chef des projets, Chambre de commerce et d’industrie du Bengale – Inde
  • M. Pattabhi Rama Rao, directeur de groupe, groupe des observations océaniques, de la modélisation et de l’assimilation des données, Centre national indien des services d’information océanique (INCOIS)
  • M. Reda Souirgi, Directeur Pays Sri Lanka, AFD

Avec la participation des panélistes du panel 1.

Le troisième et dernier atelier de cette série aura lieu le 16 mars 2022 et aura pour objectif d’identifier les ambitions politiques dans le secteur et la volonté/possibilité de coopération régionale avec l’apport du savoir-faire français dans le domaine maritime.

Retrouver le panel 1 et le panel 2 sur notre chaîne Youtube.

Lire notre rapport (en anglais) ici et le résumé exécutif (en anglais) ici

Rapport The Bridge Tank – Enchères pour les énergies renouvelables au Kazakhstan – expérience tirée du Brésil, d’Afrique du Sud, Turquie, Inde et Allemagne

Dans un contexte de transformation de nos systèmes économiques et énergétiques, les systèmes de vente aux enchères d’énergies renouvelables ont contribué d’une certaine manière à stimuler le secteur des énergies renouvelables au cours des dernières décennies. Cela est principalement dû à la baisse des coûts des technologies nouvelles, utiles pour les pays émergents en manque de moyens d’investissement, mais aussi à l’implémentation politique de ce mécanisme d’enchères en devenant un instrument modèle pour les énergies propres.

Pour comprendre les systèmes et les mécanismes d’enchères des énergies renouvelables, nous avons développé une analyse comparative entre le Brésil, l’Afrique du Sud, la Turquie, l’Inde et l’Allemagne qui nous a permis d’élaborer une méthodologie de soutien au développement des enchères, particulièrement utile dans les pays en développement. Pour garantir sa pertinence, nous l’avons testée sur le cas du Kazakhstan.

Lire notre rapport (anglais) : Renewable energy auction_report_221121

The Bridge Tank et l’Agence Française de Développement ont conjointement lancé une série de séminaires sur l’économie bleue dans le Golfe du Bengale (Bangladesh, Inde, Sri Lanka)

The Bridge Tank et l’Agence Française de Développement (AFD) collaborent pour l’organisation de trois ateliers afin de comprendre la manière dont le Bangladesh, l’Inde et le Sri Lanka mènent leurs stratégies en faveur de l’économie bleue, s’adaptent aux impacts physiques du changement climatique sur les ressources halieutiques, et pour identifier les priorités, les opportunités et les besoins pour action. En partenariat avec les départements de la recherche et des opérations de l’AFD, nous nous sommes engagés auprès d’organismes de gestion des ressources marines, côtières et halieutiques et des think tanks nationaux et régionaux influents.

Le 26 novembre 2021, l’atelier inaugural, qui s’est tenu en mode webinaire, a rassemblé les réflexions stratégiques des participants en vue de développer une interaction croissante entre les intervenants, tant les instituts que les décideurs politiques, dans des phases suivantes du projet prévus en janvier et février 2022.

Ce premier atelier avait pour but de définir les nouvelles priorités de l’économie bleue pour les différents acteurs du Golfe du Bengale, d’apporter des compréhensions et des diagnostics communs, d’identifier les opportunités et les besoins dans les projets socio-économiques. Il visait à identifier le contexte régional et les questions liées à l’économie bleue, en particulier l’amélioration du niveau de vie des communautés côtières et des utilisateurs de ressources par une gestion durable de la pêche et une gestion intégrée des côtes pour s’adapter au changement climatique, à travers deux panels.

Cet événement virtuel a réuni 12 intervenants de 10 organisations clés travaillant sur l’économie bleue dans la région, recueillant plus de 100 inscrits.

L’atelier était constitué de deux panels, qui ont permis aux intervenants de partager leur compréhension des différentes questions locales liées à la chaîne de valeur des ressources halieutiques.

  • Panel 1 : « Les écosystèmes côtiers résilients, condition préalable essentielle pour des chaînes de valeur économiques durables ? »

Intervenants:

Dr. Arnab Das, Director, Maritime Research Centre, India

Dr Srinivas Kumar, Director, Indian National Center for Ocean Information Services (INCOIS)

Ms Hasamini Sweenie Thilakarathne, Project coordinator and international affairs, Marine Environment Conservation Society of Sri Lanka (MECS), Sri Lanka Dr Chime Youdon & Dr Saurabh Thakur, Associate Fellows, National Maritime Foundation

Mr. Mashiur Rahaman, Joint Secretary, Ministry of Fisheries and Livestock

  • Panel 2 : « Pêche durable et amélioration des moyens de subsistance : actions sur la pêche pour la sécurité alimentaire, l’accès à l’emploi et l’adaptation au changement climatique dans la région »

Intervenants:

Mrs Afifat Khanam Ritika, Research Officer, Bangladesh Institute of Maritime Research and Development (BIMRAD)

Mr Md. Abdul Wahab , EcoFish Team Leader, WorldFish, Bangladesh Wing

Mrs Runa Khan, Founder & Executive Director, Friendship NGO

Dr M.F.M. Fairoz, Dean, Faculty of Fisheries and Marine Sciences, Ocean University of Sri Lanka

Dr. Md. Sharif Uddin, Department of Fisheries, Bangladesh

Pour regarder l’atelier en ligne, cliquer ici : Panel 1 & Panel 2

Pour lire la synthèse (en anglais) des échanges, cliquer ici 

« Profit et pandémie : L’OMC et l’industrie pharmaceutique en besoin d’introspection », tribune de notre board member Pranjal Sharma

Dans le contexte actuel de la pandémie de la Covid-19, notre board member, Pranjal Sharma, a écrit la tribune suivante, publiée par le Daily Guardian, sur les avantages de la renonciation aux DPI (droits de propriété intellectuelle) sur la production de vaccins, en particulier pour les pays à faible revenu, à l’instar de l’Inde et des pays du contient africain.

Lire sa tribune ici (en anglais): https://thedailyguardian.com/profiteering-pandemic-wto-pharma-industry-must-introspect/

L’hydrogène vert: perspectives d’avenir à la COP26

Durant la COP26 de Glasgow, The Bridge Tank a focalisé sa contribution à la conférence sur le thème de l’hydrogène vert et son potentiel en tant que vecteur d’énergie décarbonée. Participant actif des COP depuis la COP 22 et le Forum sur l’innovation qu’il avait contribué à organiser, think tank invité au lancement du Conseil de l’hydrogène à Davos en 2017, The Bridge Tank avait défini l’hydrogène comme l’un des enjeux clé de la COP26/COP 15 en amont du sommet à travers un rapport spécial.

Représenté par son président Joel Ruet et notre board member Raphael Schoentgen, Founder & CEO of Hydrogen Advisors, The Bridge Tank a recueilli des idées et partagé son expertise sur l’hydrogène à travers deux sessions sur le sujet. Le 11 novembre, The Bridge Tank a participé à l’Hydrogen Transition Summit, qui rassemblait des experts de l’hydrogène du monde entier pour discuter du rôle que cette molécule jouera dans la transition vers un avenir net zéro. Raphael Schoentgen, board member de The Bridge Tank, était l’un des orateurs du sommet.

Michael Matheson, secrétaire d’État écossais chargé de la neutralité carbone, de l’énergie et des transports, a ouvert le sommet sur la transition vers l’hydrogène en soulignant le rôle des partenariats bilatéraux ville-région dans l’accélération de la mise en place des chaînes d’approvisionnement en hydrogène.

Dans plusieurs régions du monde, les conditions économiques et technologiques nécessaires au développement de l’hydrogène sont déjà en place, a affirmé Raphael Schoentgen, ajoutant que le soutien du public à l’hydrogène est désormais fort. Si le prix du carbone est important, savoir qui seront les bailleurs de fonds et disposer d’un financement en fonds propres sont deux éléments clés pour passer à l’échelle supérieure, a ajouté M. Schoentgen.

Utilisation de l’hydrogène vert

La veille, le 10 novembre 2021, l’ONUDI et le ministère autrichien de l’Action pour le climat ont organisé un side event sur le thème  » Utilisation de l’hydrogène vert : Stimuler la croissance des énergies renouvelables et faire progresser la transition énergétique inclusive » au SDG 7 Pavilion. L’événement a rassemblé :

  • Stephan Sicars, directeur général de la direction de l’environnement et de l’énergie de l’ONUDI,
  • Leonore Gewessler, ministre autrichienne de l’action climatique, de l’environnement, de l’énergie, de la mobilité, de l’innovation et de la technologie,
  • Rolando Castro-Córdoba, vice-ministre de l’énergie et de la qualité environnementale du Costa Rica,
  • Rebecca Maserumule, directrice en chef pour l’hydrogène et l’énergie au ministère de la science et de l’innovation d’Afrique du Sud,
  • Ahmed Benlarabi de l’IRESEN (Institut de Recherche en Énergie Solaire et Énergies Nouvelles),
  • Alicia Eastman d’InterContinental Energy.

La ministre Gewessler a défini un cadre visant à accroître les complémentarités entre le stockage de l’électricité, la mobilité longue distance, la tarification du carbone et l’orientation de l’hydrogène en priorité vers les secteurs difficiles à décarboner, tels que l’acier. Cette utilisation particulière de l’hydrogène vert présente un potentiel considérable en Afrique du Sud, a fait remarquer M. Maserumule, car elle pourrait contribuer à décarboniser les secteurs miniers et chimiques, mais aussi les transports publics dans le contexte de la révision des contributions déterminées au niveau national (NDC) du pays.

À Oman, le soleil et le vent du désert pourraient donner lieu à la production d’hydrogène et d’ammoniac verts, ainsi qu’à la production d’eau et à la fixation du carbone atmosphérique par la production de carburants synthétiques.

France 24 – Intervention de Joël Ruet sur le Congrès 2021 du Parti communiste chinois et les difficultés économiques chinoises

Le Parti communiste chinois (PCC) a entamé le 8 Novembre 2021, sa plus importante réunion de l’année, qui doit inscrire dans le marbre la vision historique du président Xi Jinping. Au pouvoir depuis neuf ans, l’homme fort de Pékin s’apprête dans un an à obtenir un troisième mandat à la tête du PCC – renforçant encore sa stature de dirigeant le plus puissant du pays depuis le fondateur du régime communiste, Mao Zedong, au pouvoir de 1949 à 1976. Pourquoi cette résolution? Selon notre Président, Joël Ruet, cela pourrait être un aveu de faiblesse.

Regarder son intervention ici.

Rapport spécial – au-delà de la COP26 & la COP15: finance, coalitions, hydrogène et économie bleue

Dans le cadre des négociations internationales sur le climat et la biodiversité (COP26 et COP15), The Bridge Tank a développé des analyses sur les sujets prioritaires mondiaux, dont ces conférences internationales sont considérées comme étant parmi les plus urgentes.

Ce rapport vise à contribuer à la discussion mondiale et diplomatique sur les défis des dérèglements climatiques et de la biodiversité. Grâce à une revue de littérature académique et scientifique approfondie, nous avons développé ce rapport de manière méthodique, prospectiviste, tout en mettant en avant des solutions autour du 4 chapitres :
Les deux premiers chapitres dégagent des positions et des éléments structurants et globaux aux questions liées à l’adaptation, la finance et la gouvernance tout en forçant l’action à différentes échelles. Les deux seconds chapitres développent des théories scientifiques, industrielles et techniques sur des sujets opérationnels.

Le premier chapitre aborde les mécanismes de la FINANCE D’ADAPTATION avec un focus spécifique sur la blended finance comme outil efficace pour financer les économies émergentes. Nos analyses nous permettent d’identifier différents outils pour le passage à l’échelle de l’action climatique.

Le deuxième chapitre traite de l’approche innovante des COALITIONS dans les négociations sur le changement climatique vers des coalitions ascendantes et régionales, en impliquant davantage des acteurs non Etatiques.

Le troisième chapitre se concentre sur la place que peut prendre l’HYDROGÈNE dans la transition énergétique en tant que vecteur énergétique à venir. Il souligne les dynamiques économiques et politiques spécifiques qui caractérisent les écosystèmes de l’hydrogène et met en avant les éventuels goulets d’étranglement qui pourraient entraver son expansion effective, notamment pour les industries dans les années à venir.

Le dernier chapitre porte sur la nécessité de travailler à la transition vers une ECONOMIE BLEUE dans les territoires côtiers du monde, avec un focus particulier sur l’Indo-Pacifique et le Golfe du Bengale. Ce chapitre souligne le fait que l’industrialisation des océans doit être limitée et que l’écosystème côtier et les chaînes de valeur de l’économie bleue doivent être mieux intégrées.

Coordination: Malaurie Le Bail et Joël Ruet

Rédaction: Baudouin Becker, Clarisse Comte, Florian Dommergues et Malaurie Le Bail

Relecture et graphisme: Jacqueline Duan

Lire notre rapport (version anglaise): Final report_climate change and biodiversity_TBT_Nov21

Side Event COP 26 – La déclaration pour le climat de l’Internationale Libérale

Le 8 novembre 2021, The Bridge Tank, membre observateur de l’Internationale libérale, a participé à une table ronde en ligne en marge de la COP26, organisée par le parti ADLE et l’Internationale libérale. Des décideurs politiques libéraux et des représentants d’organisations partenaires se sont réunis pour partager leurs points de vue et échanger des informations sur la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique en cours. L’événement était présidé par Timmy Dooley, co-président en exercice du parti ADLE, et Hakima El Haité, présidente de l’Internationale libérale.

Les participants ont discuté du rôle des libéraux lorsqu’il s’agit d’influencer l’agenda de la durabilité dans les années à venir, avec un regard particulier sur la première semaine de négociations et un œil sur la deuxième et l’ultime série de négociations. En outre, ils ont également souligné l’importance de la voix libérale, y compris celle des jeunes générations, lorsqu’il s’agit de mieux reconstruire après la pandémie et de créer des emplois et de la croissance, ainsi que pour le respect de l’État de droit dans le monde entier.

À la fin de la table ronde, les participants ont adopté un engagement appelant les États à revoir à la hausse leurs ambitions en matière de climat. Dans cet engagement, les participants ont appelé à une coopération internationale plus forte afin d’augmenter les engagements climatiques et leur mise en œuvre. Ils ont également appelé les États à soumettre des CDN plus ambitieuses et ont insisté pour qu’un soutien technique et financier plus important soit accordé aux États en développement afin d’améliorer leur capacité à prendre des mesures en faveur du climat.

« La protection de la biodiversité mondiale est également essentielle pour lutter contre la dégradation de l’environnement et le changement climatique. Notre planète est actuellement confrontée à sa sixième extinction massive en raison de l’activité humaine, et elle perturbe les écosystèmes du monde entier, menace notre production alimentaire et augmente les risques de pandémies. Nous devons dès maintenant prendre des mesures audacieuses et rapides pour changer cela, et donc appeler les États à inclure la protection de la biodiversité au cœur de leurs plans d’action pour le climat.

Le temps des discussions est maintenant révolu, la seule option qui reste est l’action. »

Lisez l’engagement des libéraux sur la page de l’Internationale libérale.

The Bridge Tank à la 10ème session internationale d’IAGF à Genève

Du 27 octobre au 1er novembre 2021 s’est tenue à Genève la 10ème session internationale d’Initiatives pour l’Avenir des Grands Fleuves (IAGF), association présidée par Erik Orsenna, membre de l’Académie française. The Bridge Tank s’est joint à cette session d’échange et de réflexion sur le thème « Fleuve, Lac et Ville : les conditions d’une alliance réussie » à travers la présence de Joël Ruet, Président, et de notre board member Hamed Semega, Haut-Commissaire de l’Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS), participant à cette session en sa capacité de membre du Comité des Fleuves d’IAGF.

Intervention de Joël Ruet sur 2M TV Maroc: comment le déploiement du pass vaccinal favorisera à la fois le retour à la vie normale

Notre Président, Joël Ruet est intervenu au journal télévisé Infosoir du lundi 25 octobre 2021 sur la chaîne franco-marocaine 2M. Joël Ruet a indiqué que le monde est dans une nouvelle phase dans le traitement de la pandémie, avec des impératifs et des spécificités qui diffèrent de la période de son avènement. « Avant, il fallait empêcher le virus de circuler mais, ce faisant, on empêchait les populations de circuler, c’était le confinement », rappelle-t-il, une mesure nécessaire au vu de l’absence de vaccin.

Regarder son intervention ici.

Thème : Overlay par Kaira.
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