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Forum de coopération en ligne UE-Chine 2021

Le Bridge Tank a accueilli Lu Shaye, ambassadeur de Chine en France, Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre français, Irina Bokova, ancienne directrice générale de l’UNESCO, François Loos, ancien ministre français de l’Industrie et ministre déléguée au Commerce extérieur, Sylvie Bermann, ancienne Ambassadeur de France en Chine et au Royaume-Uni, Stéphane Gompertz, ancien directeur des Affaires étrangères de la France pour l’Afrique, Fatima Hadj, mécène des Objectifs de développement durable de la Fondation Bill et Melinda Gates, et François Quentin, ancien président du conseil d’administration de Huawei France au Forum de coopération en ligne UE-Chine le 21 janvier 2021. Le forum était animé par notre président Joël Ruet.

Lu Shaye a décrit le nouveau contexte des relations entre la France et la Chine, impacté par la pandémie COVID-19 et le changement de présidence américaine. Il a souligné que la coopération entre l’Europe et la Chine doit être renforcée, notamment par le respect mutuel et une communication et une coordination politiques renforcées.

Jean-Pierre Raffarin a souligné le manque de réponse multilatérale à la pandémie, avec un manque de coopération concernant les tests, les vaccins et aussi présent au sein de l’OMS. Le multilatéralisme doit donc être renouvelé tout en renforçant l’indépendance européenne, en se concentrant notamment sur les points de rencontre politique et économique entre l’UE et la Chine,  mais aussi sur la coopération internationale. D’autres pays, notamment africains, doivent être inclus dans cette coopération redéfinie.

Irina Bokova a fait valoir que l’UE et la Chine pourraient coopérer dans le cadre des objectifs de l’Agenda 2030, de la conservation de la biodiversité et de la lutte contre le changement climatique, ainsi que pour le développement de l’Afrique.

François Loos a souligné que l’industrie devrait être un axe plus central de cet accord qui peut encore évoluer avant sa ratification tandis que Sylvie Bermann a précisé que les négociations récentes intégraient les revendications européennes. Stéphane Gompertz a ajouté que le processus à venir pourrait être l’occasion de favoriser la coordination des investissements de l’UE en Chine et en Afrique. Pour finir, Fatima Hadj et François Quentin ont déclaré que la discussion ne faisait que commencer sur la taxonomie ESG des risques non financiers ou sur la compréhension mutuelle des traditions contractuelles dans l’UE et la Chine.

Enjeux et Options pour la transition économique et écologique en Inde

Joël Ruet est intervenu aux côtés d'Anita Gupta du gouvernement de l'Inde et d'Isabelle Joumard de l'OCDE au colloque de l'AVRIST sur l'innovation en Inde.
Il a notamment insisté sur le points suivants:
- Les transitions écologiques et énergétiques sont au moins aussi ascendantes, motivées par les acteurs, qu'elles sont descendantes et poussées par l'État.
- Les cycles d'innovation, y compris l'adoption et la massification, y jouent un rôle déterminant mais sous-analysé.
- Les transitions impliquent la création à long terme de tout un écosystème, auquel plusieurs pays (Chine, Brésil, UE ou US…) montrent que les programmes scientifiques en amont et la continuité sont un facteur déterminant… L'Inde à mi-chemin.
- Des "options" peuvent être récupérées à ce sujet, cependant: e-marché, e-santé, faire progresser les énergies renouvelables, de l'innovation frugale à des intrants moindres, économie circulaire, agriculture localisée, cofinancement de startups, cofinancement de la recherche et ... l'IA sur les langues - pas seulement des centres de R&D pour la chaîne de valeur, mais l'innovation pour l'Inde

Echange avec la ministre Brune Poirson : Relance, transitions énergétiques et écologiques en Chine et en Europe

Brune Poirson, vice-présidente de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement et ancienne secrétaire d’État auprès du ministre français de la Transition écologique et solidaire d’Emmanuel Macron, s’est entretenue avec le Bridge Tank.

Elle a souligné l’importance de dynamiques telles que l’Accord de Paris de 2015, l’engagement du gouvernement chinois à devenir neutre en carbone d’ici 2060, ainsi que le Green Deal de la Commission européenne et l’Initiative Belt and Road. Elle a fait valoir que ces initiatives aideraient à développer une gouvernance mondiale qui comprendrait davantage de commerce avec et entre les pays en développement.

La Chine : un allié naturel pour l’Europe sur le climat

Elle soutient l’importance d’instaurer un dialogue avec la Chine et affirme qu’elle-même « ne rate jamais l’occasion de dialoguer et d’engager une connaissance mutuelle avec la Chine. » Elle souligne l’importance de la France à respecter l’Accord de Paris et rappel sa responsabilité en tant que 2ème pays hôte de cet accord. Elle revient aussi sur le désengagement des Etats-Unis de l’Accord de Paris, une situation délicate pour la France et l’Europe qui ont dû s’adapter et trouver d’autres alliés. La Chine correspondait aux exigences de l’urgence et « s’est trouvée être une alliée naturelle sur ces sujets-là. » Brune Poirson attire l’attention l’acte symbolique « acte très fort » de l’engagement de la Chine, qui ne possède pas la même façon de construire et de mettre en œuvre les politiques publiques que l’UE.

De plus, ces tendances fortes se sont accentuées durant la pandémie COVID-19 et ont mis en lumière le protectionnisme américain. Cela a permis à l’Europe d’accélérer sa vision, quelque part, l’environnement est un outil de puissance et de pouvoir pour l’Union européenne. En particulier avec le Green Deal, qui s’est ensuite transformé en plan de relance. Le Green deal répond à une vision du monde incluant le commerce avec d’autres zones, des missions territoriales claires existent de part et d’autre, quelque part il répond à une vision commune de l’UE et la Chine. Le Green Deal de la commission européenne est financé avec les plans de relance (avec l’appui de la BEI), et la Belt & Road Initiative, financée par des prêts entre gouvernements, des banques d’exportation (China Development bank), ou multilatérales (AIIB).

Les Chefs d’Etats européens devront répondre à ces tests d’ambition lors du prochain Conseil Européen et devront alors prouver leur engagement en relevant notamment les objectifs de réduction CO2. Pour la République Populaire de Chine, organisatrice de la COP15-Biodiversité, devra montrer sa capacité à engager des tiers dans la coopération internationale (en particulier l’ASEAN sur les sujets forestiers).

Un panorama stratégique qui cache des enjeux massifs et communs de transitions énergétiques

Étaient également présentes lors de ce Forum les personnalités suivantes : Ding Yifan, chercheur à l’Institut de développement mondial du Centre de recherche sur le développement du Conseil d’État de la République populaire de Chine, et Thomas Melonio, Directeur Exécutif Innovation, Recherche et Connaissance de l’Agence Française de Développement. Ils sont intervenus dans la session «Redémarrage, transitions énergétiques et écologiques en Chine et en Europe», animée par Raphaël Schoentgen, ancien CTO et membre du comité exécutif d’ENGIE et ancien président d’Hydrogen Europe.

En complément des propos de Brune Poirson, Ding Yifan a fait valoir que la décarbonation de la production d’énergie chinoise était un élément clé de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, mais qu’elle nécessitait également la transformation de l’économie de plusieurs régions chinoises. D’importants investissements chinois sont réalisés pour encourager la transition vers l’hydrogène, et c’est un domaine pour lequel une coopération entre l’UE et la Chine pourrait être bénéfique pour les deux parties. Thomas Melonio a, quant à lui, soutenu qu’il était crucial que l’Afrique soit incluse dans les nouveaux accords de coopération, d’autant plus que les banques de développement chinoises et européennes ont les mêmes objectifs en ce qui concerne l’Afrique.

Brune Poirson, Ding Yifan et Thomas Melonio sont intervenus lors du Forum sur les relations sino-européennes et l’impact de la pandémie COVID-19. Ce forum a eu lieu au Palais Brongniart le 15 octobre 2020.

Échange entre François Loos, ancien ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur, et le Bridge Tank sur les visions d’avenir communes entre l’UE et la Chine

Praticien expérimenté du monde de l’industrie et du commerce international, François Loos préconise une nécessaire restructuration des relations UE-Chine, en soumettant l’idée que la résilience chinoise devait montrer la voie vers une reprise de l’activité mondiale.

Polytechnicien et ingénieur des mines de formation, François Loos est aussi un homme politique engagé, député du Bas-Rhin, conseiller régional d’Alsace et ministre délégué à l’industrie et ministre délégué au commerce extérieur dans les gouvernements Villepin et Raffarin sous la présidence Chirac.

La défense d’une Europe unie

À l’occasion de son intervention sur la mondialisation post-covid, François Loos a expliqué que la relation UE-Chine était entravée par des relations bilatérales au lieu de répondre à une approche communautaire. Les pays de l’UE doivent se montrer coordonnés et cohérents face à la Chine. En effet, leur absence d’unité de l’UE est un dangereux handicap, comme l’illustre l’exemple de la production photovoltaïque en Europe menacée par les importations chinoises. Il a mis en lumière les failles du mode de gouvernance européen, reposant sur la volonté des pays consommateurs et sur un système de décision à la majorité inapte à lutter contre le dumping ou à parler d’une même voix à l’OMC.

Entre recherche d’indépendance et coopération stratégique

Le COVID a démontré à tous la nécessité d’aspirer à l’indépendance, ou non-dépendance, face à ses voisins. Pour François Loos, cette autonomie ne peut être acquise pour l’UE qu’à condition qu’elle dispose elle aussi de champions nationaux dans des secteurs stratégiques, notamment dans l’industrie. 

Toutefois, l’indépendance n’exclut pas la coopération. Loin d’avoir été atténué par la crise, le poids de la Chine dans l’économie mondiale s’est renforcé et rend l’enjeu d’une coopération sino-européenne d’autant plus central, comme en témoigne la discussion en cours de nouveaux accords sino-européens. 

D’autant plus que cette recherche d’indépendance nationale n’est pas toujours stratégique selon l’ancien ministre : il a évoqué le cas des « bonnes délocalisations », celles où l’implantation d’une entreprise dans un pays étranger sert le marché de ce même pays. Reste à voir si la Chine va accélérer la mise en place des mesures prévues pour encourager les Européens à s’implanter en Chine sur un pieds d’égalité face aux entreprises locales. 

Vers une vision de l’avenir en commun 

L’ancien ministre a insisté sur la nécessité de conjuguer les visions du futures chinoises et européennes. Pour cela, il est nécessaire de définir les axes stratégiques vers lesquels orienter la coopération sino-européenne. À l’image de l’UE qui a été initiée en 1952 par une collaboration sur le charbon et l’acier, il a appelé à une coopération basée sur des enjeux d’intérêt commun qui fonderait un nouveau type de relations à l’échelle mondiale et avec la Chine. Le sujet des matières premières, agricoles et minérales, est par exemple un point d’appui central de cette coopération, stratégique des deux côtés en matière d’énergie et d’alimentation puisque la Chine dépend de ses importations pour nourrir sa population.

De même, l’environnement est un autre sujet de coopération possible et nécessaire avec la Chine, à condition de ne pas uniquement aborder la question sous l’angle des grandes entreprises, mais bien d’y associer, à l’échelle locale, le monde des petites et moyennes entreprises, les villes, les collectivités, qui sont au plus proche de la réalité et des solutions concrètes. 

Lors du Forum de Coopération UE-Chine organisé le 21 janvier 2021, l’ancien ministre a précisé que ces visions collectives ne pouvaient exister sans des normes et des régulations communes. Il est en effet essentiel que les questions d’environnement, d’énergie, de matières premières, d’alimentation aient un horizon compréhensible et partageable par les pays européens, les États-Unis et la Chine. 

Pour parvenir à un dialogue précis et ouvert avec la Chine, François Loos préconise d’organiser avec celle-ci des groupes de travail pour définir ces visions du futur, générer un état de confiance et avancer ensemble sur ces secteurs précis. 

François Loos suit de près les travaux du Bridge Tank, notamment sur la relation UE-Chine. Ces éléments sont tirés de son intervention lors du Forum pour la coopération UE-Chine post-covid, organisé par le Bridge Tank le 15 octobre 2020.

Pranjal Sharma intervient lors du Reboot Work Festival sur le panel « AI, Automation & Future of work »

Pranjal Sharma, conseiller au Forum économique mondial de Davos et membre du conseil d’orientation du Bridge Tank, était l’un des principaux panélistes du Reboot Work Festival le 17 décembre 2020. Il est intervenu dans le panel intitulé «AI, Automation & Future of work », aux côtés de Rajesh Kumar, responsable régional du marketing chez UiPath. Il a fait valoir qu’une «nouvelle normalité» émergerait en lien à la quatrième révolution industrielle, avec de nouvelles tendances numériques pour aider les entreprises à se réadapter et à renforcer leur résilience.

5 ans après l’Accord de Paris : entreprises et leviers d’action climatique dans un monde en crise

La Société d’encouragement pour l’industrie nationale (SEIN), fondée en 1801 avec le soutien officiel de Napoléon, a organisé un webinaire intitulé « 5 ans après l’Accord de Paris : entreprises et leviers d’action climatique dans un monde en crise « . Cet événement a eu lieu le 16 décembre 2020, pour le cinquième anniversaire de la COP21.

Lors de la séance plénière, des discours d’introduction ont été prononcés par Olivier Mousson, président de la SEIN, Sylvianne Villaudière, vice-présidente, Jean-Pierre Cordier, président de la Commission internationale, et Joël Ruet.

Lors de son introduction au panel « Finance et Climat, quel effet de levier », Joël Ruet a fait valoir que le facteurs clé de la réussite du sommet de la COP21 a été l’engagement du Maroc à convaincre les pays africains et le Groupe des 77 des Nations Unies de signer l’Accord de Paris. Il a souligné le rôle du soutien des pays du Sud à cet accord, d’autant plus que celui-ci était censé les accompagner dans leur transition écologique. La plupart des investissements qui participent à la croissance mondiale seront bientôt majoritairement dirigés vers les pays du Sud, et nous devons veiller à ce que ces investissements soient durables et soutiennent l’agriculture, les mesures sociales et l’innovation (notamment par des transferts de savoir-faire technologiques). Des produits financiers doivent être développés pour les projets de taille moyenne, comme il en existe déjà pour les petits et grands projets. L’Europe doit suivre et être suivie par le reste du monde si elle veut atteindre ses objectifs de manière efficiente. Il est également essentiel que l’Union européenne joue un rôle dans les normes d’analyse des données brutes. Les pays du Sud doivent avoir accès aux taux d’intérêt négatifs de la même façon que les pays du Nord afin de se développer équitablement.

Parmi les autres intervenants figurait Bertrand Badré, ancien directeur général et directeur financier de la Banque mondiale, Emmanuelle Mourey, Présidente du Directoire La Banque Postale Asset Management, Christian Brodhag, maître de conférences à l’école des Mines (Saint-Etienne) et ancien délégué interministériel au développement durable, Anne Girault, professeur de l’association ABC, et Monica de Virgiliis, présidente de Chapter Zero France.

Revoir la session:

Rencontre entre Hakima El Haite, Présidente de l’Internationale libérale et le Président ivoirien Alassane Ouattara.

Hakima El Haite, Présidente de l’Internationale libérale et membre du conseil d’orientation du Bridge Tank, a eu une audience privée avec Alassane Ouattara, le Président ivoirien, le 15 décembre 2020. Cet événement s’est déroulé en marge de l’investiture d’Alassane Ouattara à la présidence. Ils ont échangé sur les activités de l’Internationale libérale, ainsi que sur les perspectives de développement de la Côte d’Ivoire.

L’Internationale libérale est la fédération mondiale des partis politiques démocratiques libéraux et progressistes. Récemment, elle a notamment appelé au respect de la démocratie et des droits de l’homme lors des élections ougandaises et a appelé la Commission des Nations Unies sur la condition de la femme à condamner la violence contre les défenseurs des droits de l’homme égyptiennes.

Philippe Coste intervient dans un article pour la Fondation Prospective et Innovation

Philippe Coste, membre du conseil d’orientation du Bridge Tank, a exprimé son opinion sur le Conseil européen dans un article pour la Fondation Prospective et Innovation du 14 décembre 2020.

Le Brexit étant l’un des défis les plus importants à venir pour l’Union européenne, il est dans son intérêt de présenter une voix franco-allemande unie, représentant les 25 autres membres. Bruxelles a également réussi récemment à apaiser les tensions qui montaient en Pologne et en Hongrie concernant le budget de l’Union, par le biais d’une déclaration interprétative. S’assurer que ces deux membres approuvent le budget était essentiel car ce plan pluriannuel comprenait un plan de relance de 750 milliards d’euros pour aider à la sortie de la crise sanitaire actuelle, comme l’a décidé le Conseil européen du 21 juillet.

Lors de sa dernière session, le Conseil européen a décidé que la coopération entre les Etats membres devait être intensifiée suite à l’évolution de la crise sanitaire, pour permettre un retour à la normale le moment venu. Il a également été convenu que l’Union devait viser une réduction des gaz à effet de serre d’au moins 55% par rapport au niveau émis en 1990, une augmentation de 15% par rapport à la décision prise en 2014. Le Parlement européen était même en faveur d’une 60% de baisse, mais le niveau fixé nécessitera déjà de nombreux efforts et financements de la part des Etats membres, notamment la Pologne. Le Conseil a également encouragé la Commission européenne à achever son nouveau programme de lutte contre le terrorisme. Il a réaffirmé la disponibilité totale de l’Europe à échanger avec les États-Unis de Biden sur les principaux défis actuels, tels que la santé, la sécurité, le climat, l’économie, la technologie ou le commerce. Finalement, le Conseil a convenu que l’Union était prête à développer une relation de coopération avec la Turquie, mais également prête à condamner les provocations et les actions contre les États membres.

Selon Philippe Coste, ce Conseil était une nouvelle illustration de la capacité continue de l’Europe à recueillir 27 opinions et intérêts souverains différents et à représenter une décision unanime.

Irina Bokova lauréate du Global Teacher Prize de 2020

Irina Bokova, membre du Conseil d’orientation du Bridge Tank, a félicité le 14 décembre le lauréat du Global Teacher Prize de 2020, Ranjitsinh Disale. Elle a salué le courage et le sacrifice des enseignants à travers le monde en ces temps d’incertitude, à un moment où l’éducation souffre de son plus grand bouleversement de l’histoire de l’humanité. Elle a également rappelé au public que « rien ne peut remplacer un bon enseignant » et qu’il est essentiel qu’après la crise, les gens continuent à soutenir les enseignants.

L’OMVS remet un chèque de 200 millions de francs CFA pour le 9e Forum Mondial de l’Eau

Hamed Semega, membre du conseil d’orientation du Bridge Tank et haut-commissaire à l’Organisation sous-régionale de l’Autorité de développement du bassin du fleuve Sénégal (OMVS), a remis aux organisateurs du 9e Forum Mondial de l’Eau (qui se déroulera en 2022) un chèque de 200 millions de francs CFA.

La cérémonie officielle d’accueil de ce soutien financier a eu lieu le 11 décembre 2020 à Dakar. Lors de cet événement, un accord de partenariat a également été signé entre l’OMVS et le secrétariat exécutif du forum pour assurer la coopération entre ces deux entités en 2021. Dans cet accord, l’OMVS s’est engagé à soutenir la mobilisation des ressources nécessaires à l’organisation d’ateliers et autres projets intégrés à l’initiative Dakar 2021.

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