“Faut-il lire dans les petits déplacements d’équilibre diplomatiques les mouvements tectoniques ? Que signifie le lancement du Transition report 2016 de l’Union Africaine (UA), le 21 septembre à New York, en marge de l’Assemblée Générale des Nations-Unies ? Affaire interne à l’UA − comme voudrait le suggérer le fait qu’aucun diplomate français de haut rang n’y était −, ou mouvement de fond assorti d’un risque de perception par l’UA d’un désintérêt de la France (d’autres diplomates européens y étaient) sur la grande transformation du Continent ?…” Lire la suite de cette tribune de Joël Ruet publiée dans Jeune Afrique