Par Alexandre Leonardi, ingénieur et haut fonctionnaire, & Clément Le Gouellec, ingénieur et haut fonctionnaire.
L’aide au développement en Afrique subsaharienne vit plusieurs bouleversements : présence croissante des grands émergents, rôle des fondations, sentiment d’échec des politiques d’aide les plus conventionnelles. Par ailleurs, l’enseignement professionnel et supérieur ne s’est pas encore affirmé comme un segment majeur de l’activité des bailleurs, qui se concentrent sur l’enseignement primaire et secondaire. Pourtant, la qualité des ressources humaines disponibles est l’un des premiers facteurs cités par les entreprises comme obstacle à leur développement et à la création d’emplois en Afrique. Lire le rapport